Je prends un jour de repos après ces quelques longues journées de marche et l'occasion pour moi de visiter la grande ville rose. J'ai envie de l'appeler la ville blanche. Blanche comme une colombe, car au réveil ce matin à mon heure habituelle, j'entends les oiseaux gazouiller et pas un autre bruit. Rien ne me fait penser que je suis dans une cité, mais j'ai plus l'impression d'être arrivé au paradis. C'est ainsi que je me suis rendormi dans les bras de morphée pour me lever une heure trente plus tard.
Je commence par visiter la basilique St Sernin, entièrement bâtie en briques. Sa crypte où repose le Reliquaire de St Saturnin, sous le choeur est sobre. Le déambulatoire propre aux "églises de pèlerinage " est conçu pour permettre aux pélerins de circuler pendant les offices sans perturber les offices des chanoines.
Je me dirige ensuite vers le capitole, mairie de Toulouse, avec son donjon renfermant à l'origine les archives de la ville. A l'intérieur de belles salles peintes par des artistes locaux au début du 20ème siècle. On y voit la salle des Illustres, ventant les grandes heures de la cité et son splendide escalier d'honneur menant à la salle des débats.
Je passe devant le musée des Augustins, puis la cathédrale Ste Etienne, tellement imposante. A l'intérieur, l'architecture méridionale toulousaine est flamboyante. De magnifiques peintures ornent les murs.
Je ne vous présente pas la chapelle de Ste Germaine, dont je vous en dirais quelques mots lors de ma prochaine étape. Sans oublier bien sûr St Jacques le Majeur.
Le canal de midi n'est plus très loin, le plaisir pour moi d'y jeter un dernier coup d'oeil, au port St Sauveur avant de pique-niquer dans le jardin des plantes.
Le centre de Toulouse est très reposant dans la mesure où la circulation automobile y est très réduite. Je me sens attiré maintenant par la Garonne. Je suis ses quais jusqu'au port de la Daurade. Cet endroit à été rendu à la détente d'où l'on a une belle vue sur le Pont Neuf.
Puisque je suis sur les quais, l'hôtel d'Assézat mérite que l'on s'y arrête avant de rejoindre l'écluse St Pierre.
Cette écluse est la liaison qui permet à la Garonne d'alimenter le canal de Brienne qui alimente lui-même le canal de la Garonne en direction de l'Atlantique. Je remonte donc ce canal pour aboutir au port de l'embouchure où se fait la liaison des 3 canaux. A droite celui de la Brienne, au milieu le canal du midi qui se vide sur celui de gauche, le canal de la Garonne.
Il est temps pour moi de passer par le couvent des Jacobins, avant de rentrer à la petite auberge. Cela fait déjà 7h que je déambule dans la ville. Je crois que mon étape de repos est aussi longue qu'une étape ordinaire, le sac à dos en moins.
Je commence par visiter la basilique St Sernin, entièrement bâtie en briques. Sa crypte où repose le Reliquaire de St Saturnin, sous le choeur est sobre. Le déambulatoire propre aux "églises de pèlerinage " est conçu pour permettre aux pélerins de circuler pendant les offices sans perturber les offices des chanoines.
Je passe devant le musée des Augustins, puis la cathédrale Ste Etienne, tellement imposante. A l'intérieur, l'architecture méridionale toulousaine est flamboyante. De magnifiques peintures ornent les murs.
Je ne vous présente pas la chapelle de Ste Germaine, dont je vous en dirais quelques mots lors de ma prochaine étape. Sans oublier bien sûr St Jacques le Majeur.
Le canal de midi n'est plus très loin, le plaisir pour moi d'y jeter un dernier coup d'oeil, au port St Sauveur avant de pique-niquer dans le jardin des plantes.
Le centre de Toulouse est très reposant dans la mesure où la circulation automobile y est très réduite. Je me sens attiré maintenant par la Garonne. Je suis ses quais jusqu'au port de la Daurade. Cet endroit à été rendu à la détente d'où l'on a une belle vue sur le Pont Neuf.
Puisque je suis sur les quais, l'hôtel d'Assézat mérite que l'on s'y arrête avant de rejoindre l'écluse St Pierre.
Cette écluse est la liaison qui permet à la Garonne d'alimenter le canal de Brienne qui alimente lui-même le canal de la Garonne en direction de l'Atlantique. Je remonte donc ce canal pour aboutir au port de l'embouchure où se fait la liaison des 3 canaux. A droite celui de la Brienne, au milieu le canal du midi qui se vide sur celui de gauche, le canal de la Garonne.
Il est temps pour moi de passer par le couvent des Jacobins, avant de rentrer à la petite auberge. Cela fait déjà 7h que je déambule dans la ville. Je crois que mon étape de repos est aussi longue qu'une étape ordinaire, le sac à dos en moins.
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