Que de monde à partir ce matin, nous étions quatorze dans le gîte. J'ai retrouvé hier soir Jean-Louis qui est parti de Montpellier, un jour avant moi. Retrouvailles bien sympathiques, l'occasion d'ouvrir une bonne bouteille de vin rouge du Haut-Languedoc.
Mais ce matin, c'est eau, très claire, celle de la Mare, la rivière que je prends à contre-courant.
De 329 m, à St Gervais sur Mare, je monte vers le Mont Fuech à 1024 m. C'est à travers forêt de châtaigniers et de hêtres que je grimpe vers le Serre de Majous. De cette montagne coulent de nombreux cours d'eau qui alimentent la Mare, dernière rivière à se diriger vers le Bassin méditerranéen.
Je suis sur le chemin pour découvrir le patrimoine local. Je ne peux pas passer sans faire un détour de 4 kms pour admirer la chapelle St Eutrope. Le 30 avril de chaque année, un pèlerinage monte sur ces rudes pentes où le vertige n'est pas de mise. Sur ces cailloux le vent souffle terriblement, la descente est périlleuse, avec une forte prise au vent avec mon sac à dos .
Aujourd'hui , après passage sur l'autre vallée, les rivières dont la Vêbre vont rejoindre le bassin de la Garonne et l'Atlantique. Passant par la forêt de hêtres, me voici dans le Tarn. La végétation change de nouveau. Les arbres encore en hibernation laissent place aux pâturages.
Plus que 6 kms de descente pour arriver au gite communal de Murat sur Vêbre où je n'ai pu faire de réservation, étant un week-end. Mais la providence veut que j'arrive en même temps que Nadine et Annie qui, elles ont le code d'accès du gîte. Je n'ai plus qu'à rentrer, il reste encore quelques lits de libres. Pas pour très longtemps puisqu'il est complet dès 17h30.
Mais ce matin, c'est eau, très claire, celle de la Mare, la rivière que je prends à contre-courant.
Je suis sur le chemin pour découvrir le patrimoine local. Je ne peux pas passer sans faire un détour de 4 kms pour admirer la chapelle St Eutrope. Le 30 avril de chaque année, un pèlerinage monte sur ces rudes pentes où le vertige n'est pas de mise. Sur ces cailloux le vent souffle terriblement, la descente est périlleuse, avec une forte prise au vent avec mon sac à dos .
Aujourd'hui , après passage sur l'autre vallée, les rivières dont la Vêbre vont rejoindre le bassin de la Garonne et l'Atlantique. Passant par la forêt de hêtres, me voici dans le Tarn. La végétation change de nouveau. Les arbres encore en hibernation laissent place aux pâturages.
Plus que 6 kms de descente pour arriver au gite communal de Murat sur Vêbre où je n'ai pu faire de réservation, étant un week-end. Mais la providence veut que j'arrive en même temps que Nadine et Annie qui, elles ont le code d'accès du gîte. Je n'ai plus qu'à rentrer, il reste encore quelques lits de libres. Pas pour très longtemps puisqu'il est complet dès 17h30.
Cumul: 264 kms
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