La pluie a cessé, l'occasion pour moi de refaire un petit tour dans cette jolie cité que je quitte à regrets.
Situé à 100 M d'altitude, il va falloir me hisser à 490 m pour passer sous le roc de Bissone, puis apercevoir le Pioch Canis perché à 451 m.
Une centaine de mètres suffisent pour sortir de St Guilhem et déjà le village a disparu comme englouti par ces roches calcaires. La nature à l'état sauvage m'accueille. C'est par de petites sentes que je grimpe vers le Roc de Bissone.
Tout le long du chemin, les herbes aromatiques embaument l'atmosphère. Hélas le soleil ne daigne pas fendre ces nuages. J'ai même l'impression qu'ils m'accompagnent jusqu'à m'envelopper une fois arrivé au sommet.
Qu'à cela ne tienne, une fois sur le plateau je sillonne la garrigue et ses étendues de chênes verts. Mes copines Nadine et Annie sont parties très tôt ce matin. Comme le petit poucet, elles me laissent des petits messages de réconfort entre pélerins.
Une centaine de mètres suffisent pour sortir de St Guilhem et déjà le village a disparu comme englouti par ces roches calcaires. La nature à l'état sauvage m'accueille. C'est par de petites sentes que je grimpe vers le Roc de Bissone.

Tout le long du chemin, les herbes aromatiques embaument l'atmosphère. Hélas le soleil ne daigne pas fendre ces nuages. J'ai même l'impression qu'ils m'accompagnent jusqu'à m'envelopper une fois arrivé au sommet.
Qu'à cela ne tienne, une fois sur le plateau je sillonne la garrigue et ses étendues de chênes verts. Mes copines Nadine et Annie sont parties très tôt ce matin. Comme le petit poucet, elles me laissent des petits messages de réconfort entre pélerins.
Je reconnais là la patte d'Annie.
Le soleil, fait enfin son apparition sur ce plateau. La descente sur le village de Monteyroux, n'est que plus agréable, les horizons se dégageant.
Par de larges lacets j'accède à ce village, tandis que son château moyenâgeux, me faisant barrage, tente de défendre comme il en est l'usage ses habitants. Mais il veille surtout à défendre ses vieilles pierres contre les assauts du temps qui passe.
Le soleil, fait enfin son apparition sur ce plateau. La descente sur le village de Monteyroux, n'est que plus agréable, les horizons se dégageant.
Par de larges lacets j'accède à ce village, tandis que son château moyenâgeux, me faisant barrage, tente de défendre comme il en est l'usage ses habitants. Mais il veille surtout à défendre ses vieilles pierres contre les assauts du temps qui passe.
Encore 2,5 kms pour faire ma pause déjeuner à Arboras.
Magie de la marche, qui vois-je arriver, à la fin de mon repas, Nadine et Annie qui après quelques éclats de rire poursuivent leur chemin. Un quart plus tard, je charge mon sac à dos, direction St Jean de la Blaquière à 2h30 de là.
Mais avant il faut remonter à 530 m, au pied des deux vierges, pas Nadine et Annie, non, mais du rocher des deux vierges.
Pourquoi ce nom, mystère ? Serait-ce le fait que cette zone au feuillage très touffue n'est guère pénétrable ...
Puis c'est la descente toute tranquille, sous les chênes verts, en direction de St Jean de la Blaquière.
Il est 16h15, trop tôt pour faire ses courses, dans le seul commerce qui ouvre à 18h. Trop tôt pour faire la popote pour ce soir et demain. Trop tard pour faire une lessive qui n'aura pas le temps de sécher. Alors, je rédige mon blog, le dos au soleil, comme un lézard, face à cette belle montagne.
Cumul :165,5 kms
Magie de la marche, qui vois-je arriver, à la fin de mon repas, Nadine et Annie qui après quelques éclats de rire poursuivent leur chemin. Un quart plus tard, je charge mon sac à dos, direction St Jean de la Blaquière à 2h30 de là.
Mais avant il faut remonter à 530 m, au pied des deux vierges, pas Nadine et Annie, non, mais du rocher des deux vierges.
Pourquoi ce nom, mystère ? Serait-ce le fait que cette zone au feuillage très touffue n'est guère pénétrable ...
Il est 16h15, trop tôt pour faire ses courses, dans le seul commerce qui ouvre à 18h. Trop tôt pour faire la popote pour ce soir et demain. Trop tard pour faire une lessive qui n'aura pas le temps de sécher. Alors, je rédige mon blog, le dos au soleil, comme un lézard, face à cette belle montagne.
Cumul :165,5 kms
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